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samedi, novembre 29, 2003
 
Kill Bill est une tuerie, dans tous les sens du terme. Je ne sais trop quoi en dire sans entrer dans une avalanche de superlatifs, mais je dois avouer que je ne suis pas déçu (chose de plus en plus rare lorsqu'on attend beaucoup d'un film). Et puis, je n'aimerai pas gâcher une miette du plaisir à ceux qui ne l'ont pas vu.

Hier, longue visite au magasin de comics qui prend des allures de rendez-vous des fans de comics bordelais le vendredi soir. Acheté aussi des DVD (Les Deux tours et La porte du paradis).

Les enfants de Phil Dick arrivent à vivre de l'argent des droits des livres de leur père. Il viennent de lancer une nouvelle version du site officiel et force est de constater que ça a de la gueule...


17:58


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vendredi, novembre 28, 2003
 



Ca sort fin janvier... Miam miam...

Nous jouons les 5 et 20 décembre. D'abord à la salle des fêtes des Saint-Macaire et ensuite à St-Medard en Jalles.

14:19


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jeudi, novembre 27, 2003
 

Je suis retourné à la fac aujourd'hui.
Deux heures de cours du DESS de traduction sur la Renaissance et les Belles Infidèles.
Intéressant et bizarre à la fois, car ça faisait bien trois ans que je n'avais pas mis les pieds dans un cours à la fac.
J'ai appris que je commençais à avoir les yeux qui faiblissent. Je ne voyais plus rien lorsque je revenais sur ma feuille après avoir regardé les diapos.
Je me suis aussi rendu compte que je ne savais plus prendre des notes.

C'est dur de vieillir...

16:33


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C'est moi ou Benabar ressemble à Joann Sfar?
En plus, leur nom ont le même nombre de syllabes et ils riment un peu....
Si ça se trouve, Joann Sfar a une identité secrète et la nuit, il chante des petites chansons sans trop de mélodies, mais avec des paroles à la mode. L'équivalent de ses bédés, quoi.

Je pense avoir percé un des mystères de ce siècles: ils ne font qu'un!

Je ne les déteste pas, mais leur "oeuvre" ne m'inspire qu'un grand:

"Bof, tout ça pour ça?"


12:18


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mercredi, novembre 26, 2003
 

Die another day a un générique original où, une fois n'est pas coutume, le descendant de Campion Bond (c'est Alan qui le dit) se fait torturer non-stop. Le film est un James Bond plutôt bien troussé. Bien entendu, il faut aimer le genre, mais j'admire toujours le travail des scénaristes dont la marge de maneuvre est si réduite qu'écrire un script relève pour moi de l'exploit.
Donnez les droits à Tarantino!

Pendant ce temps à Corleone, Sicile...

15:24


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mardi, novembre 25, 2003
 

Une vision intelligente de Matrix!

15:58


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Steranko! a reçu un prix. Et il continue de s'échapper: ici en Espagne.

13:08


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Ce n'est certes pas leur meilleur film, mais Intolérable Cruauté des frères Coen, permet de passer tout de même un trés bon moment.

J'ai maté Comic Book Confidential et je l'avais bien déjà vu sur Arte il y a un bail. Jack Kirby n'y intervient que 28 secondes, Frank Miller chevelu, beaucoup plus. C'est dur.

10:02


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samedi, novembre 22, 2003
 

La soirée s'appelait Punk Rock for superheroes et y'avait Superman sur l'affiche. Donc, ca commençait bien et tout s'est déroulé perfectly. Les deux autres groupes Tchiki Tchiki island et Swad étaient sympas et assuraient. Les potes étaient tous là (ou presque) et on s'est bien éclaté à jouer et à suer. On n'a pas été grandiose, mais on s'est réellement amusé.

L'award du jeu de mot le plus pourri revient à Manu: "Mars Hotel, le groupe qui vient de Mars, comme la bière".

L'award de l'amnésie revient à Jean-Phi qui a oublié le dernier morceau en grande partie.

Merci aux organisateurs (superdisto), au public et à Superman.

13:17


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vendredi, novembre 21, 2003
 

Frank Black se lache sur le forum de son site:

TO ALL MY FANS...

There seems to be much concern over the fact that I don't say much during my gigs. I have never in 17 years chatted from the stage. It is not my style. Most of the crowd is there to hear music and could care less about what I might have to say as a citizen. If I made pop music and played to thousands of people a night, maybe my demeanor would be a little different. I play arty rock music on the arty rock music circuit. It has never been my expectation that one should be chatty in this arena. That has never been my experience when I am a patron. And if I don't do an encore it isn't because I'm "in a bad mood". It's because the audience didn't really ask for one. Basically, I, the artist, don't deserve to take an encore if it is not demanded. The oft performed encore is a classic example of theatrical tradition becoming watered-down, dumbed-down, and meaningless. It's a real shame. I am a guitar player. I am not a dancing bear....I am a singer. I am not a dancing bear... I am a guy loading a trailer. I am not a dancing bear... I am a cabaret singer. I am not a dancing bear... Sometimes people think that I am rude when I don't switch into that dancing bear routine. I am not complaining. I adore playing music to the people that support my art. But I am not a fucking dancing bear... I may look like a dancing bear! Sure. I admit it.

FraNK

15:42


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Rappel pour les têtes en l'air: nous jouons ce soir à l'Ubu Bar rue Gratiolet (à côté du Zoobizarre).
On se la donne une bonne heure avec plein de nouveaux morceaux dans une cave plein de sueur et d'hormones, bref, on se tente le R&R complet, ce soir.

Ha, Conan par Thomas et Smith déchire vraiment...

11:18


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jeudi, novembre 20, 2003
 

Emmanuel Guibert dessine le témoignage de Didier Lefèvre sur son reportage photographique en Afghanistan en 1986. Une bande dessinée forte et passionnante qui mélange dessin et photo.



L’histoire est simple : Didier Lefèvre est un photo-reporter, parti faire un reportage en Afghanistan en juillet 1986. Il suit une équipe de Médecins sans frontières, son appareil photo en bandoulière.
Aujourd’hui, il raconte son histoire à Emmanuel Guibert qui en fait une magnifique bande dessiné qui s’appelle, bien évidemment, Le Photographe. Lefèvre en est le narrateur et c’est à travers ses yeux que l’on suit le périple de ces médecins qui traversent une partie du pays en guerre pour soigner sa population. Au delà du témoignage, c’est la prouesse narrative qu’il convient d’aborde de célébrer. En effet, les auteurs parviennent à mélanger photos et dessins avec talent. Guibert joue avec les clichés de son ami et les immisce au milieu de l’intrigue. L’intrication entre les deux modes graphiques est très bien réalisée et permet des effets assez saisissants. Pas besoin pour le dessinateur de représenter ce que voit le photographe, il peut donc se consacrer à ce que son ami n’a pas pu imprimer sur sa pellicule. Ainsi, l’alternance, comme sur la page 6 est fluide, presque naturelle et ce, malgré la différence de supports. On voit même Lefèvre en photo lorsqu’on le « fusille » (l’expression est de lui) pour lui faire une blague. Seule différence entre les deux supports : les clichés ne sont pas couverts par du texte comme peut l’être une case « normale ».
Le photographe prouve donc que l’alliance entre dessin et photo est possible dans une bande dessinée et même qu’elle enrichit le langage propre au genre.
Après la forme, il faut bien parler du contenu qui est tout aussi intéressant et pertinent que le mode de narration. Lefèvre raconte donc une vraie aventure, celle qu’il a vécue avec une équipe de Médecins sans frontières. Il parle des préparatifs, des rencontres, des habitants, du pays, de la marche et des chevaux, bref, il livre un récit de voyage dont l’intérêt est double. Il est un témoignage sur ce genre de missions humanitaires et il témoigne de la situation en Afghanistan dans les années 80.Ici, on ne parle pas du « sort de la population », mais plutôt de personnes individuelles qui essayent de survivre, malgré la faim, les maladies et la guerre. On apprend les manœuvres que certains font pour survivre et on découvre les protections que doivent utiliser l’équipe de Médecins sans frontières pour arriver à bon port. Bref, on se rend compte des dangers que recèle une telle expédition et on suit la bande dessinée comme un vrai reportage, complément de celui, photographique, de Lefèvre. Après Sacco et Davodeau, voici donc une troisième voie, une autre façon de traiter le reportage en bédé et surtout, voici une excellente bande dessinée…

15:28


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On jouera donc cinq nouveaux morceaux vendredi. Celui que j'ai fait lundi a été mis en place super vite. Il s'appelle Tulip et reste simple, basique et entraînant avec un petit côté pêchu au niveau rythmique. Content le Gino!
Les pochettes sont à l'impression, on va pouvoir vendre des CD et normalement, il devrait y avoir plus de monde que la dernière fois; on a rameuté des potes.

15:07


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mercredi, novembre 19, 2003
 


18:31


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mardi, novembre 18, 2003
 



100% de Paul Pope est proche du sublime. Je n'avais guère aimé Escapo, mais là le bougre m'a bluffé. Situé dans le futur, son intrigue romantique formée de plusieurs personnages aux liens plus ou moins forts est un modèle de construction et de rythme. On sent que Pope a bossé pour le manga, et surtout qu'il en a retenu quelque chose. Il y a quelques sc-nes absolument géniales dans ces 5 numéros de 48 pages, comme celle où deux personnages parlent dans un environnement créé par la pièce dans laquelle ils sont. L'idée n'est pas neuve, mais la mise en image en offre un renouvellement plutôt bienvenu. Le trait, le traitement des idées et l'ambiance, sont originaux. Il transpire même du livre une espèce de magie, comme un état de grâce qui aurait possédé l'auteur et qu'on lui souhaite de garder...

15:51


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Il y en a d'autres sur le site du groupe...

09:58


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lundi, novembre 17, 2003
 



Plein de pochettes d'albums qui n'ont jamais existées ici! (Via 12 lunes)

16:11


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Nous jouons vendredi à l'Ubu Bar, rue Gratiolet, avec deux autres groupes. Ca devrait commencer vers 21 heures et pour une fois j'aimerais bien qu'il y ait du monde. Alors ceux qui ne veulent pas payer devront me contacter et les autres devront amener des amis, bordel!!
Il y aura plein de nouveaux morceaux. Au moins trois, le dernier n'étant pas fini.
Mercredi, j'arrive avec un nouveau, dans la plus pure tradition ginolienne. Ca va être facile à mettre en place...

14:22


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vendredi, novembre 14, 2003
 

Captain and Books change d'apparence et de titre pour devenir Neverlands.

Comme c'est mon Blog Master et que je lui doit tout, je change aussi car je ne suis qu'un gros copieur...

15:28


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Allez écoutez les mp3 de calc, bordel!

It's an order!

14:16


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Cure sort un coffret de raretés et de face B. 4 Cd plus un livret de 80 pages. Merci Robert!

10:07


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jeudi, novembre 13, 2003
 

Mongol Rodéo a assuré, malgré le trac, qu'on sentait bien présent.
Les Bellrays ressemblaient à un croisement entre Tina Turner et The Hives, mais ce sont les Raevonettes qui ont emporté le morceau. Entre le Velvet, Jesus and Mary chains et My Bloody Valentine, leur style noisy m'a enthousiasmé. Et puis leur petit filet de voix doublé est excellent.
Les Hot Hot Heat sont des showmen, mais ils en oublie qu'ils sont là pour faire de la musique et c'était finalement assez décevant.
Une bonne soirée tout de même.
Tiens, j'écoute le Smile des Beach Boys que m'a filé David et c'est assez étrange. Je ne sais pas d'où viennent les morceaux...

Ugo a mis son compte-rendu des Utopiales ici.


Ugo, le dos de Pierre-Paul et moi.


Pierre-Paul a du poil dans les oreilles.


Votre serviteur fatigué (remarquez la naissance du double menton).

13:52


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mercredi, novembre 12, 2003
 

Le quatrième tome de La Ligue des gentlemen extraordinaires est excellent. Trés violent, osé et assez orienté cul, malgré tout. Original dans tous les cas.
La bonne nouvelle du jour c'est que le groupe de Chick, Mongol Rodéo, remplace The Black Keys au festival des inrocks, ce soir, et que je suis sur la liste. Ca risque d'être puissant.

Sinon, je lis une bio de Jaco Pastorius et ça me passionne. Mais je suis facilement impressionable.

15:23


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mardi, novembre 11, 2003
 

Le compte-rendu de...

Vendredi soir, Matrix 3. Si le 2 se passait surtout dans la matrice, celui-ci se déroule en majorité dans le monde réel (qui ne l'est pas tant que ça, mais bon). On ne s'ennuie pas, la scène de l'attaque du quai est même grandiose (j'adore les exosquelettes), mais le film ne répond pas aux questions posées dans le 2. Bref, j'ai ailé autant que je suis déçu.
Samedi, je me lève tôt. Je pars à Nantes et je veux voir la table ronde sur Dick à 11h30. J'arrive à temps, mais je vois aussitôt Ugo et Pierre-Paul. Alors évidemment, on commence à papoter au lieu de regarder Powers, Blaylock et Spinrad évoquer leurs souvenirs. Bruno Para est là aussi, mais un type plutôt grand vient me heurter: Etienne! Cool, que de gens biens au centimètre carré. On va au bar et je dis bonjour aux autres. Gilles Dumay est là et Olivier Girard aussi. Gilles Goullet n'arrive qu'après et il m'offre Revenge of the nerds: quelle bonne idée.
Ca fait un peu inventaire, là, hein?
Mais c'est parce que que c'est comme ça. Je viens surtout pour voir des gens que j'apprécie et tout commence donc bien.
On mange au restau des invités (merci Ugo) avec la bande et Philippe Curval, qui m'a l'air d'être assez cool.
L'aprème se déroule en virevoltant au gré des discussions et des rencontres. Je vais voir Beyond Re-animator. C'est trop bon: gore, con, drôle, sexy (sauf qu'on voit pas la blonde à poil, merde!). Un bon moment de plaisir sans cerveau!
Retour à la foule. Dave vient d'arriver. Il est beaucoup mieux que la dernière fois. Ca fait plaisir. Il me présente Fabien Vehlmann, un jeune scénariste de bédé dont j'apprécie le boulot et qui est, en plus, trés trés sympa. On parle un bon bout de temps et on finit au pot de la remise du prix Julia Verlanger que Gilles s'est vu remettre.
Puis on part manger en ville. Nous sommes dix et la pizzeria nous propose deux tables:une de 6 et une de 4.
Je mange donc avec Richard Comballot qui me parle de Dantec et de ses projets d'anthos, Thierry Di Rollo qui évoque les Beatles et son écriture et Thibaut, qui explique ce qu'est la maquette d'un livre.
Le soir, on dort en ville, chez des parents de la femme d'Ugo, dans un appart gigantesque d'au moins 150 m².
Le lendemain matin, c'est rugby, bordel!!
Les français gagnent avec brio. La journée commence bien.
Je mange avec Gilles et Peter S. Beagle, dont la femme est hallucinante. En reverse cowgirl, leur accouplement doit ressembler à un batonnet de glace à la gélatine.
Je traîne un peu l'après-midi et Olivier me présente Xavier Mauméjean que j'ai connu électroniquement par ce blog.
Il est trés sympa et parler avec lui est assez exquis.
Etienne part en se lamentant qu'il n'a pas pu voir Andreas. Il m'appelle une demi-heure après. Il l'a croisé sur le parvis et a eu sa dédicace. Y a une justice!
Le soir, c'est Monthy Pythonesquement coolos!
On part manger avec Olivier, Pierre-Paul, Ugo, Xavier, Johan Heliot et Eric Vial (l'homme jeux de mots qui en vient à ressembler à un ennemi du Batman de la série télé). Le repas est vite plié et on se retrouve au bar du Novotel, en train de boire de l'armagnac et du vin jaune du Jura (courtesy of Johan). Là, dire qu'on à rigolé comme des bossus (l'expression est de Pierre-Paul) est presque un euphémisme. On se fend la pêche comme des débiles pendant quelques heures. Xavier possède la blague qui tue, celle dont les Pythons ont fait un sketch, mais comme elle passe mal à l'écrit...
Vraiment une trés trés bonne soirée...
Le lendemain sent la fin et je passe plus de temps à dire au revoir qu'autre chose.
Je rentre, crevé, et hier soir, je regarde Cure en essayant de ne pas fermer les yeux. J'ai rien compris, si quelqu'un pouvait m'expliquer.

J'ai du oublié plein de choses, mais peu importe.

C'était vraiment bien. Merci les gars!

18:26


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vendredi, novembre 07, 2003
 

Quelques lectures:
Piano de Joann Sfar ressemble à du Sfar. C'est un carnet qui présente un beau bordel (comme ce blog, quoi, mais avec des dessins). C'est parfois passionnant, parfois anecdotique et parfois trés enervant car le gars ne se prend vraiment pas pour de la merde. Pourtant, une bonne partie de sa production n'est pas bonne. Heureusement que l'autre partie compense cela.

Nexus de Baron et Rude est naze. Le rythme est trop rapide pour qu'on s'intéresse aux personnages qui, au demeurant, auraient pu accrocher le lecteur.

Super-Héros de Martin Winckler est joli. Je n'y apprend rien, mais c'est agréable à regarder et le gars connaît son sujet (ce qui est trop rare de nos jours).

Je suis au milieu du Samouraï Virtuel (Snow Crash) de Neal Stephenson et je trouve ça vraiment énorme. C'est fun, drôle, servi par une écriture décomplexée et efficace. On n'y trouve pas la poésie d'un Gibson, mais, au moins, on comprend tout!

12:41


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Alors, j'y suis allé sur le Wold Newton universe.Et j'ai trouvé une photo de Kilgore Trout!


11:36


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Hier soir, j'ai maté Pop Stars. C'est assez marrant la façon dont ils ont resserés les boulons par rapport à l'année dernière. Plus de place à l'erreur, cette fois, ils ne vont pas se planter. Le cynisme est incroyable dans cette émission. Les interviews des types qui encadrent les "artistes" sont bien car les gars ne cachent pas qu'ils font un produit et qu'ils se branlent du facteur humain. Finalement, et malgré toute la mise en scène qui est faite, on se rend bien compte de la façon dont la musique est traitée à ce niveau. Les gars bossent avant tout pour répondre à une attente du public et pas à celle de leur propre sensibilité. La musique n'est qu'un moyen, elle n'est en rien une fin en soi.
Nous, on est des putains d'artisans à côté. On ne se pose jamais de questions de ce type sur la réception de la chose. L'écart est hallucinant... et salutaire.

Puis, j'ai lu d'un trait le livre d'André-François sur Arsène Lupin. Passionant, mais trop court. Entre ça et Lupin III, dont je regarde les DVD, je suis en plein dans la cambriole. C'est intéressant pour P.M. tout ça.
Je vais aller faire un tour sur le Wold Newton Universe, tiens.

10:19


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jeudi, novembre 06, 2003
 



Dans Bons baisers de New-York, Art Spiegelman revient sur toutes les couvertures qu’il a faites, et celles qu’il na pas faites aussi d’ailleurs, pour l’hebdomadaire américain, le New-Yorker. De 1993 à 2002, il a créé des illustrations de couvertures pour ce magazine destiné à la moyenne bourgeoisie new-yorkaise. De tradition, le journal ne suscite guère de polémiques, mais certains dessins de Spiegelman vont provoquer des mini-scandales qu’il détaille d’ailleurs lui-même. Il commence par raconter la genèse de ses illustrations et évoque, quand il y a lieu de le faire, les conséquences qu’elles ont eu sur sa carrière au sein du journal et sur les lecteurs du New-Yorker. Prenant pour thème des sujets contreversés et donnant un avis que les américains qualifieraient volontiers de « politiquement incorrect », Spiegelman ne fait qu’exprimer un avis par des dessins, certes forts, mais, somme toute, peu provocateurs. On voit donc le fossé entre une certaine presse et les lecteurs qu’elle représente et la réalité du monde d’aujourd’hui. Bons baisers de New-York offre aussi quelques belles pages sur le 11 septembre et une introduction sans intérêt de Paul Auster (mais qui la refuserait ?). L’ensemble montre une grande partie de la production de Spiegelman depuis Maus et jusqu’à ce qu’il commence sa bédé pour le journal allemand Zeit et reprise en France dans Courier International. En prime, il y a même une critique en bédé de Kavalier and Clay...


15:44


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mardi, novembre 04, 2003
 

Des projets dont je ne peux rien dire, j'en ai de plus en plus, mais le secret est encore de mise, mais ça fait plaisir et c'est enthousiasmant.

Par contre, je peux parler du type qui vient de m'appeler pour me proposer un concert le 21 novembre à l'Ubu Bar, à côté du Zoobizarre. Ca aussi ça fait plaisir, car c'est un gars qui nous a vu lors de notre premier concert et qui m'a dit qu'il a vraiment aimé.
Je pense qu'il va être surpris.

19:57


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dimanche, novembre 02, 2003
 

Aujourd'hui, on a visité le trois-mâts Belem. Et c'était énorme. Gigantesque et aussi trés beau, du bois partout et le sentiment que quand la bête vogue, la vie doit être dure à bord.

19:46


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