mercredi, juillet 27, 2011
Reprise du travail à fond avec de nouveaux objectifs et de nouvelles opportunités qui s'empilent. A mi-chemin de l'année, la décision de moins traduire a porté ses fruits en termes de production personnelle. C'est déjà ça.
Petit week-end avec le Professeur Etienne himself. Au programme, des cigares, beaucoup d'alcool (une visite de château en prime) et une humiliation à Mario Kart par une gamine de huit ans (mais élevée par des mutants).
Plus encore que les vacances noël, l'été est la période où l'on voit tous les amis qui sont trop loin pour partager l'apéro une fois par semaine. Encore un ce soir, d'ailleurs.
En attendant, j'essaye de finir le tome 2 de Blackline en écoutant Paul Westerberg.
- KW Jeter vient de sortir un nouveau roman uniquement en ebook, sans passer par les éditeurs traditionnels. Il s'en explique sur son blog. The Kingdom of shadows a l'air alléchant et son pitch me fait penser au magnifique Flicker (La Conspiration des ténèbres) de Theodore Roszak.
Voilà ce qu'en dit Jeter sur son twitter:KINGDOM OF SHADOWS might be the best thing I've ever written -- but the epubbing revolution was necessary for me to bring it out.
- Glenn Branca vend des livres cyberpunks (mais pas que). Il a une bonne collection.
12:20
Oubliez ce ramassis d'albums jetables et hype encensés par Pitchfork. Jack Rabid s'occupe du meilleur magazine musical de l'univers, The Big Takeover, depuis 31 ans.
Je crois que je ne raconte pas assez ma vie. Je crois que je ne ME raconte pas assez ma vie.
Drôle de période. Bouclé un roman (accepté), un recueil de nouvelles (tous deux sortiront en février 2012) et réécrit un autre roman (en lecture). Bouclé le premier tome d'une série de douze bédés (des adaptations, je m'attaque au trois bientôt car c'est pas moi qui adapte le deuxième) et rebossé sur le dossier bédé personnel qui me tient sans doute le plus à coeur. La balle est dans le camps des éditeurs.
Me suis donc remis à la bédé avec Juzhen qui passera de 46 à 86 pages avec bon nombre de modifs. Un satané puzzle à remettre en forme. Mais pour parvenir à un one-shot bien meilleur (je l'espère en tout cas).
Me reste à terminer un nouveau dossier de bédé, à me pencher sérieusement sur la proposition d'une directrice de collection et à revoir le projet de série télé d'un pote pour le transformer en série bédé.
Voilà, j'ai l'impression qu'en l'écrivant, je vais être obliger de le faire sur le champ et ne plus penser à ma satanée cuisine à ces centimètres qui manquent pour rentrer les meubles et autres joyeusetés.
Ha oui, et aussi, je vais participer à une émission de télé en tant que chroniqueur à la rentrée. Mais on en reparlera.
Mon traducteur à contresens préféré (et je sais que c'est pas seulement le mien) a encore frappé. Au bout d'à peine 10 pages dans Duma Key, de Stephen King: Seuls des noms de garçons me venaient à l'esprit, me mettant à chaque fois un peu plus en colère: Randall, Rudolph, Russel et jusqu'à la putain de rivière Phoenix.