jeudi, janvier 28, 2010
Bon, l'idée d'une tablette sur laquelle on pouvait écouter de la musique et lire dans un format convenable me chauffait plutôt, je dois avouer. Et le prix pas si élevé que celui auquel on aurait pu s'attendre commençait à faire briller un éclat dans mes yeux. Mais. Pas de multitâches. On ne pourra pas lire en écoutant de la musique, par exemple. Ouch. Et pour l'instant, pas moyen de lire d'autres format que celui embarqué (dont visiblement pas les ouvrages que j'ai déjà en pdf). Reouch.
Back in my pulp-mag days I worked from about 8:30 to noon, took an hour off for lunch, and worked again from one to three, for a work day of five and a half hours or so. I wrote 20 to 30 pages of copy in that time, doing it all first draft, so that I was able to produce a short story of 5000-7500 words in a single day. If I had 3000-worders to do, I usually wrote one before lunch and one after lunch. At three o'clock I poured myself a shot of rum or mixed a martini, put a record on, and sat down to relax until dinnertime, reading and perhaps sketching out the next day's work on a scrap of paper. This was the Tuesday-to-Friday routine. I never worked on Saturday or Sunday. On Monday I made the rounds of the editorial offices to visit some mix of John Campbell, Howard Browne, Larry Shaw, W.W. Scott, and Bob Lowndes—editors of Astounding, Amazing, Infinity/Science Fiction Adventures, Super Science Fiction, and the various Lowndes titles—to deliver the previous week's work. Sometimes I stopped off at my agent's Fifth Avenue office to pick up checks, also. (I took the subway downtown from my apartment on West End Avenue in Manhattan.) In weeks when I was writing a novel, I followed a five-day schedule, doing about thirty pages a day, so a typical Ace novel would take me six or seven days to write. I produced a lot of copy that way—a million words a year, or more—and since nearly all of it was contracted in advance, I didn't have to worry about rejections very much. (Now and then I would aim a story at Campbell or Gold or Boucher, where nothing was guaranteed in advance, and if they turned it down I delivered it to one of the lesser magazines, which bought it. Nothing went unsold for long.)
Bon, j'avoue, je suis inscrit sur une liste de discussion de fans des Beach Boys. Et un des membres a proposé de compiler une sorte de best-of des morceaux du groupe sortis dans les années 70. Réécouter les derniers albums a ressemblé à de la torture pour moi et j'ai fini par aboutir à cette compilation dont je poste le lien spotify. Il y a tout de même quelques chefs d'oeuvres dans le lot. Si un des gars propose de faire pareil avec les années 80, j'achète une poupée vaudou à l'effigie de John Stamos...
12:26
Charlotte Hatherley, c'est mon genre de fille. Ancienne guitariste de Ash, elle vient de finir une tournée avec Bat for Lashes et sort son troisième album, New Worlds, qui est aussi bon que les deux premiers.
Laura Veirs, elle, vient de sortir un album carrément magnifique. On y trouve un morceau sur Carol Kaye, la bassiste du wrecking crew, le ghost band ultime des sixties...
Halloween 2, le remake, par le mec qui a un nom de mort-vivant est vraiment un nanar stellaire. Outre les personnages agaçants, le même meurtre répété dix fois et le manque d'idée, je me suis rendu compte que Zombie ne savait même pas gérer l'espace. Haddonfield est une abstraction, la scène finale n'est jamais mise en situation et les rares idées originales sont tellement à côté de la plaque qu'on a l'impression d'avoir affaire à un bon vieux slasher saupoudré du trip malsain qu'affectionne son réalisateur et qui, exactement comme le métal, me fait bailler... Les films précédents de Zombie n'étaient pas géniaux, loin de là, mais pas désastreux. Celui-ci ressemble à la bataille de Crécy, côté français...
17:19
L'hiver, je souffre autant que mes palmiers. Dès que noël est passé, il me tarde le printemps. Mais avant ça, il me tarde déjà de terminer mon marathon interventions/trads/bédé qui s'achèvera le 15 février... Vers la fin du mois, j'irais faire un tour, rituel annuel, au festival d'Angoulême, mais sinon, l'immersion va être presque totale. Je vais tout de même aller faire du bruit avec les copains parce que la nouvelle guitare est vraiment excellente.
Et sinon, puisqu'il est encore temps, Neult et Gino vous souhaitent une bonne année!
J'ai enfin vu Avatar en ayant réussi à me préserver des commentaires qui fleurissent un peu partout sur la toile. J'en suis encore à me demander comme un film dépourvu de la moindre idée originale (il n'y en a pas la queue d'une), a tout de même réussi à m'aspirer dans son univers avec autant de force? La 3D? Ca serait trop simple. La réalisation? C'est vrai que c'est fluide et que quelques plans sont bluffants. Mais ce n'est pas suffisant. L'habile agencement d'éléments SF vus et revus ailleurs, mais compilés dans un procédé à la Hypérion? Peut-être déjà plus. Le mélange de tout ça et d'autres éléments qui me dépassent (la puissance d'une histoire à la portée mythologique parmi d'autres): sans doute. Une chose est sûre, un revisionnage du film ne tiendra pas le coup, surtout sans 3D.
11:48