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mercredi, mai 27, 2009
 


A la fin de la première saison de Fringe, j'arrive à mettre le doigt sur ce qui me plaît dans la série. Les thèmes sont archi-bateaux, les idées pas super originales et chaque épisode s'attaque à un cliché du fantastique. Mais c'est dans la façon de le faire que tout se joue. Le fantastique est ancré dans une réalité bien palpable, celle d'un autre type de série télé genre enquête du FBI. Et la comparaison à X-Files s'arrête là. La série joue tant la carte du réalisme, tout au moins dans son ambiance, que l'introduction de l'élément fantastique, qu'il s'agisse de téléportation, de monstre, d'univers parallèle, fonctionne à plein.



Et pour une fois dans une série de JJ Abrams, il semblerait que les créateurs aient tout prévu depuis le début. Une chouette mythologie se met en place et la thématique archi-rebattue des univers parallèle fait une irruption qui s'éloigne de Sliders par sa finesse.



J'ai aussi noté que là aussi, les problèmes avec le père ont une importance démente, comme souvent chez Abrams: Alias, Lost et même dans Star Trek le film. Mais je suis bien incapable d'en tirer des conclusions.

11:17


6 comments

Comments:
Je n'arrive pas à comprendre cette opinion bien ancrée chez certains selon laquelle Lost n'était pas inscrit dès le départ dans le cadre d'une intrigue préétablie. Il est évident que chaque épisode n'était pas écrit d'avance, qu'ils sont rédigés au fur et à mesure dans le cadre d'une intrigue dont le fin mot, lui, est connu des scénaristes — comme l'était Babylon 5, de JMS. On a l'impression que certains spectateurs, ne voyant pas dès le départ comment on pouvait relier ensemble des évènements qui semblent absolument disparates, ont jugé une fois pour toutes que les scénaristes racontaient n'importe quoi en espérant retomber sur leurs pieds à la fin.

On a pourtant pu voir avec X-Files que cette "stratégie" ne fonctionne pas, et l'exemple de Babylon 5 a montré la fatuité des déclarations de Brannon Braga, scénariste du piteux DS9, clamant qu'il était impossible, avec une série télé, de savoir où on allait six mois à l'avance ("Alors, 5 ans, vous pensez!").

Arrivés en bout de saison 5 de Lost, on constate que tout s'emboîte parfaitement, naturellement dirais-je presque (avec, pour l'heure, la seule exception du personnage de Walter, le fils de Michael, qui me semble liée à des problèmes de disponibilité de l'acteur — JMS a eu les mêmes soucis ponctuels, qui affectent des détails épisodiques sans que ça modifie l'intrigue générale).

Incidemment, je ne suis pas convaincu qu'Alias n'ait pas également évolué dans un cadre pré-établi. Malheureusement, la disparition d'Abrams en cours de route pour aller développer Lost, laissant la série entre les mains de seconds couteaux, puis la grossesse de Garner, expliquent le brouillonnement des deux dernières saisons. Mais dans le dernier épisode, le plan de Rambaldi, qu'on devine plus qu'on ne le voit pour cause de raccourcissement de saison, reste compréhensible et cohérent avec ce qu'on apprenait dès le premier épisode, et notamment ce personnage qui semblait très vieux. L'ensemble pèche dans son exécution, pas dans sa conception première.
 
La relation avec le père, j'y pense, est une des problématiques les plus répandues dans les œuvres américaines actuelles. Au cinéma, cela apparaît, avec deux ou trois autres "messages" passe-partout, la seconde chance, la détermination récompensée, etc., comme une méthode commode de doter d'une épine dorsale des scénarios par ailleurs informes.

J'attendrais d'en savoir plus long avant de décider que c'est un des thèmes chers à Abrams.
 
Sur Lost, je sais pas. J'ai l'impression, mais ce n'est qu'une impression, que des trucs comme le monstre de fumée noire, par exemple, n'était qu'un gimmick fantastique que les scénaristes ont décidé d'expliquer plus tard. Il y a tant de points qui resteront inexpliqués dans Lost, tant de mystères que les scénaristes se sont amusés à créer, mais pas à résoudre, que je doute du "tout était prévu à l'avance". Les chiffres, par exemple, ne seront jamais expliqués (mais j'aimerais me tromper).
Quant à Alias, je ne suis pas d'accord. Il y a un cliffhanger fabuleux avec la boule liquide de Rambaldi qui retombe complètement à plat et la résolution est bien en deça de tout ce qui était promis. Quand le spectateur imagine des résolutions meilleures que la vraie fin, il y a, à mon avis, un problème. Alias a bien foiré ça, je trouve, en ne voulant pas prendre le vrai virage SF que Lost (et Fringe) n'ont pas hésité à prendre.
 
Les chiffres, on a encore une saison pour les expliquer. Ça devrait prendre une phrase, d'ailleurs, maintenant, l'explication est facile. Quant à la fumée noire, on y est. On a vu sa tête dans le dernier épisode de la saison 5.

Pour Alias, comme j'ai dit, Abrams est parti préparer Lost et on sent que les scénaristes remplaçants ne savent pas où ils vont, et sont partis sur des pistes hors sujet. Abrams a d'ailleurs dû revenir en catastrophe pour essayer de ramener la série dans les rails. Mais bon, c'était sa première série en show runner, je présume qu'il n'a pas su faire passer la consigne.
 
Rien ne prouve que le monstre de fumée noire soit celui auquel tu penses. Et expliquer les chiffres en une phrase, quelle que soit l'explication, ça me paraîtra un peu court.
 
L'explication des chiffres découle pourtant aisément de ce qu'on sait désormais (et sois pas sottement littéral: quand je dis une phrase, ça peut en prendre trois ou quatre, et ça pourra faire tout un épisode, selon la façon dont ils voudront le gérer. Mais ça pourrait tenir en une phrase.) Et rien ne prouve que tout ce dont tu dis que ça ne sera jamais expliqué ne le sera pas.
 
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