mercredi, janvier 30, 2008
On entend parfois dire qu'un tel est le descendant de tel personnage plus ou moins célèbre ou que tel autre compte parmi ses ancêtres un grand auteur ou un président de la République. Cela donne lieu à des rapprochements incongrus. Par exemple, Yves Duteil avait pour arrière grand-oncle, le Capitaine Dreyfus. Et je suis sûr que vous connaissez tous d'autres exemples.
Moi, le personnage le plus célèbre, pour autant que je sache, ayant un lien de parenté avec moi est un type qui a gagné plusieurs fois le Tour de France, Ottavio Bottechia, le Bûcheron du Frioul (c'est beau comme un nom de catcheur), un coureur cycliste au destin tragique qui était le cousin germain de mon grand-père maternel.
Tout ça pour dire que cette bédé raconte une de ces épopées et que j'ai bien envie de la lire...
En parlant d'envie, l'affiche du Primavera est hallucinante. On se croirait en 92. Là aussi, j'ai très envie...
09:42
# posted by Anonyme : mercredi 30 janvier 2008 à 23:18:00 UTC+1
quand je vous dis que c'est dangereux de manger des cerises! (sans parler des risques de diarrhées!)
Yeanpol
# posted by Anonyme : mercredi 30 janvier 2008 à 23:24:00 UTC+1
pfff, cette mode de réaliser des adaptations de littérature en bédé... c'est d'une tristesse d'imagination, d'une pauvreté! lis Albert Londres directement, quoi.
# posted by Andre-Francois : jeudi 31 janvier 2008 à 21:58:00 UTC+1
Ouais, pourquoi adapter des livres au cinéma, à la télé? Pourquoi faire des opéras à partir de mythes, hein? C'est bien les histoires à la veillée au coin du feu, pas la peine d'y ajouter de la musique? Et pourquoi raconter plusieurs fois la même histoire d'abord? Donc, je ne suis pas du tout d'accord. Tu as répondu par réflexe et ton avis ne m'étonnes qu'à moitié, mais je pense sincérement que nous sommes à un moment de l'histoire de la bédé où ce genre de travaux peut aider le médium à trouver de nouvelles voies, de nouvelles façons de raconter. Partir d'une autre façon de raconter, de voir les choses et essayer de transposer en bédé fait s'interroger bon nombre de créateurs sur leur manière de faire, je semble et ça ne peut être que positif. Qu'on sorte du "tout à l'instinct" que représente la "nouvelle bande dessinée". Il y a des grosses merdes, mais aussi des choses très intéressantes qui sortent de ce mouvement (commercial avant tout, je te l'accorde).
Bref, la bédé en question n'a pas l'air superbe, mais je tenais à signaler sa parution, parce que le récit d'Albert Londres est assez peu d'actualité, sans cela...
# posted by Anonyme : vendredi 1 février 2008 à 09:20:00 UTC+1