The songs are deceptively simple, which is to say they seem like straightforward rock compositions. When dissected, they betray a musical maturity beyond the normal scope of pop-rock songwriting. I appreciatePinkerton more than most Beatles albums, which is almost hard for me to admit, my loyalty to the Beatles being sacred in my heart. YetPinkerton has all the tricks of the most complicated Beatles compositions, with modern lyrics about alienation and longing. To this day, listening to it provides constant inspiration and excitement, and feels like a gift, as if the melodies and chords were written by a long-lost brother from a distant lifetime. MayPinkerton go down in history as one of the most important rock records of the last 20 years.
Vendredi, je suis entré dans le palais des congrès de Nantes, pardon le Nantes Events Center, d'un pas alerte, l'esprit vif et plein d'allant, mon sidekick à mes côtés (à moins que ce ne soit le contraire, que nous vivions dans un univers steampunk où je suis le sidekick et lui l'encapé, mais je n'ose le croire). Quelqu'un m'a très vite tendu un verre en plastique rempli de bière et probablement lesté de GHB parce que je me suis réveillé hier après-midi, en train de rouler dans ma voiture, un type émacié et à l'oeil au beurre noire me renvoyant mon regard dans le rétroviseur du milieu.
Entre temps, que s'est-il passé? J'ai bien quelques flashs: hurler à tue-tête devant cent personnes le Paranoid de Black Sabbath, m'être pris un seau d'eau sur la tête dans un lit et m'être recouché le soir dans le même lit encore humide (le bruit de l'oreiller trempé résonne encore dans mes oreilles), une partie de go grandeur nature sous la pluie, une bagarre déclenchée par un dinosaure en peluche au milieu de vinyles d'Ange, et avoir signé plusieurs contrats vendant probablement mon âme à des scientologues maléfiques, mais guère plus.
Je me suis peut-être amusé, mais je n'en garde aucun souvenir.
12:21
En général, je ne suis pas particulièrement friand d'adaptations de bédés en film. A part les histoires de super-héros de base qui passent dans le genre divertissement concon, les vraies bonnes bédés donnent souvent de grosses daubes (toutes les adaptations de Moore sont dans ce cas, par exemple).
Ce n'est vraiment pas le cas de Scott Pilgrim et de Walking Dead, un film et une série dont les créateurs qui ont saisi que la clé d'une adaptation n'était pas la "fidélité" graphique ou scénaristique, mais une question d'esprit, de vision commune, de feeling. Le choix des chansons dans Scott Pilgrim illustre bien cela et les compos de notre amis scientologue Beck rendent tout à fait l'esprit des différents groupes fictionnels.
Ha, les faux groupes, une autre de mes passions, avec les disques jamais faits et les cors aux pieds des musiciens...
Je viens de finir le deuxième recueil de l'excellente série The Unwritten. Une bédé fascinante dont le thème principal est la création et en particulier la création littéraire. Le personnage principal, dont l'origine est encore incertaine, partage son nom et certaines caractéristiques avec un personnage de sorcier dont son père a écrit les aventures dans des romans à grand succès.
Et alors que je pensais que le modèle de ce protagoniste était évidemment Harry Potter, le scénariste nous apprend que : "the most important reference point is the autobiography of Christopher Milne – who is famous as the Christopher Robin of the Winnie the Pooh books. Milne grew up feeling that his father had stolen his childhood from him, turned a profit from it and then given it back to him in a form he couldn’t use. Our Tom is very much in that situation when we first meet him, although we take his identity crisis a fair bit further than that"
Du coup, je fais quelques recherches sur le Christopher Milne en question et je tombe sur cette photo, encore plus fascinante à mes yeux, d'artefacts littéraire, les véritables personnages, qui appartenaient à Christopher Milne, dont nous connaissons tous les représentations (via Disney pour la plupart d'entre nous) et donc son père s'est inspiré. Je vous présente donc Tigrou, Grand Gourou, Winnie l'ourson, Bourriquet et Porcinet.
En personnes.
Cela fait plusieurs mois, qu'en secret dans une des tours du Haut-Château, je participe à l'élaboration du projet Angle Mort. Le premier numéro sort aujourd'hui. Vous devriez l'acheter.
12:26